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Note d'information juridique

[Témoignage client] IlliCO

Entre illiCO et Yannick Vittet, c’est une histoire de longue date, et surtout, une aventure qui marche !

À travers un article témoignage réalisé par la société illiCO, découvrez la collaboration entre les deux entreprises et la passion pour la musique de Yannick Vittet.

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Témoignage client : illiCO

Agent de protection rapprochée

Pour lui comme pour Latifa, son épouse – binôme oblige -, le travail est une vraie ordonnance, presque une philosophie de vie. Insatiable perfectionniste, Yannick a souvent pris quelques virages serrés pour aller au bout de ses engagements.

Focus sur un homme d’idées, toujours bienveillant.

Yannick Vittet, ascensionniste de l'excellence
Yannick Vittet, ascensionniste de l'excellence

Dès son plus jeune âge, dans son village natal, tous les in­grédients étaient déjà réunis pour qu’il atteigne la barre la plus haute. C’est donc dans l’école de musique d’Aix-les-Bains, réputée pour sa méthodologie et ses objectifs d’excellence, qu’il commence à taquiner la clarinette et le saxo. En parallèle, il poursuit un cursus de formation économique. Avec la musique comme équilibre et l’envie d’atteindre le plus haut sommet de ses capacités, Yannick s’interroge sur la carrière à suivre : artistique ou entrepreneuriale ? Durant trois ans, il va développer des plans de formation adaptés aux grandes entreprises pour Agefos PME, premier gestionnaire de fonds de la forma­tion professionnelle en France. Puis rattrapé par le besoin impérieux de parfaire son niveau musical, il amorce un premier virage…

La musique en toile de fond

Recruté par CFDP Assurances, as­sureur de protection juridique indé­pendant, Yannick part à Grenoble pour un poste de salarié et cadre dirigeant associé. Et comme il appartient à ces obstinés qui re­mettent sans cesse l’ouvrage en question, il reprend avec assiduité des cours de saxo ! La délégation grenobloise évoluant bien, il ouvre avec ses collaborateurs une délé­gation à Chambéry, lieu même du CRR, le conservatoire à rayonne­ment régional. Hasard ? Que nen­ni ! Nouveau tournant : Yannick quitte Grenoble pour la Savoie et, dans le même temps, est reçu sur concours au département jazz de l’école de musique. « Ce fut une époque où j’étais hyperactif, je dor­mais quatre heures par nuit. À côté des divers diplômes musicaux que je préparais, j’avais pris une licence d’entrepreneur du spectacle : j’or­ganisais 80 concerts par an. En filigrane, j’avais toujours à l’esprit l’ambition de développer de nou­veaux produits pour mes assu­rés. »

Un article sur l’ascension et le développement dïlliCO sort dans la presse à ce moment-là. « Avec Nicolas, nous nous sommes rencontrés au bon moment dans l’évolution de nos boîtes respec­tives. On a bien phosphoré et on s’est lancés ensemble dans une aventure passionnante. » Latifa, qui avait pris la suite de la délégation grenobloise, intègre rapidement le petit groupe de travail. La première option de protection naît dans les contrats illiCO. « Ma femme et moi, nous sommes un peu le pile et face d’une pièce: elle est le docteur en droit formé à l’exploitation d’entre­prise: je suis l’économiste pragma­tique. »

Le temps de la raison

En 2008. période à laquelle les compagnies d’assurances doivent se do­ter de comités de contrôle, Latifa et Yannick gèrent déjà 600 dossiers et 1500 appels par an pour illiCO. Douze mois plus tard, ils quittent leur poste chez CFDP et coconstruisent avec Nicolas une société de cota­tion des entreprises. Véripro est né ! Cette année-là, au moment où tout bouillonne, Yannick fait un accident vasculaire cérébral. Les engagements avec illiCO sont tenus et maintenus, mais le couple porte un regard nou­veau sur la vie. Un autre projet d’importance a commencé à voir le jour : une famille ! En 2011. Latifa et Yannick ouvrent un cabinet de courtage en assurances : Projassur. Spécialisée en risque d’entreprise, la structure permet notamment de garantir les acomptes encaissés par les courtiers illiCO. Passionnés par leur métier, ceux que l’on a baptisés « les gardes du corps illiCO » exercent aujourd’hui à Aix-les-Bains, sur leur terre natale. Et c’est sans frustration que Yannick a raccroché ses instruments !

Pour Yannick et Latifa, spécialistes en analyse du risque d’entreprise, le constat était là : il fallait apporter une norme de sélection des entreprises à illiCO travaux.

Sur le cœur...

L’aventure avec illiCO a été pharaonique, éreintante, mais passionnante. On était des aventuriers, mais avec les pieds sur terre.

 

Nombreux sont ceux qui ont asso­cié votre implication dans illiCO à de la protection. Comment l’expli­quez-vous?
Notre métier, c’est la gestion du risque au sein des entreprises et cela passe effectivement par une protec­tion juridique. Notre mission consiste à défendre les entreprises en cas de li­tiges. Latifa, Nicolas et moi, on a tou­jours été conscients d’une chose, c’est que derrière tout ça, il y a des gens. Derrière cette notion de « gardes du corps », il y a des valeurs humaines : l’empathie, la considération, la bien­veillance …

 

Vous souvenez-vous d’une période de travail particulièrement dense avec Nicolas Daumont ?
Avec Nicolas, on n’a jamais eu de mal à discuter de l’ équilibre indispensable à nos entreprises respectives. Les choses se sont accélérées quand il a fallu créer Véripro, puis travailler sur la garantie financière concernant les acomptes clients. Je me souviens de temps de travail très intenses, mais aussi de fous rires indescriptibles, qui restent de grands moments d’ antho­logie !

 

Nicolas, Latifa et moi avons vécu situations ensemble cocasses, comme l’appel de Julien Courbet en pleine réunion de franchisés !

 

Quelle anecdote pourrait illustrer cette bienveillance permanente pour llliCO ?
Quand Julien Courbet a appelé, on se doutait que c’était pour instruire à charge un client illiCO. Latifa et moi avons briefé Nicolas en 15 minutes chrono, avec toute une batterie d’ ar­guments construits, mais toujours bienveillants. Le client est revenu vers nous et nous avons pu trouver ensemble une solution. Je me sou­viens aussi de cette émission, Capital, consacrée au « courtage en travaux. » D’emblée, on sentait l’équipe de tournage critique. En bons commu­nicants, Latifa et moi leur avons dé­roulé de façon très pragmatique toute la pertinence de la démarche illiCO. Résultat, le journaliste a été plutôt dithyrambique.

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